@ Yahann,
Tous les économistes libéraux - John Stuart Mill, Milton Fiedman entre autres- affirme qu’une certaine proportion de chômeurs et de pauvres est nécessaire pour maintenir une pression à la baisse sur les salaires.
Si un plein emploi de postes en CDI, pour peu qu’il puisse exister -sachant que même en Suède on reconnait qu’il n’y a pas suffisamment de postes pour l’ensemble de la population -, les salariés seraient mécaniquement en position suffisamment puissante pour demander des augmentations de salaire.
Maintenir une fraction importante de la population en état de faiblesse économique - ils consomment néanmoins mais de la ...- permet de maintenir les salaires à la baisse, or dans une économie ouverte mondialisée, il faut- c’est un Dogme imposé par principe- , quie le coût du travail soit soutenable en comparaison de celui des Pays à plus bas coût.
C’est simple, mais totalement injuste.