il ne s’agit pas de forces "anti-émeute" mais de l’armé populaire chinoise. Qu’il y est eu des violence de la part de tibétains contre des commerçants chinois, nul ne le conteste. On assiste à une radicalisation de la violence anti-chinoise. "Supprimez le bouddhisme fait parti de la politique chinoise, mais les chinois doivent se rendre compte que l’une des conséquence en sera l’amoindrissement des valeurs culturels liées au sentiment de la compassion et au désir de paix. Il sont responsables de l’instauration d’une culture de la violence, et doivent en accepter les conséquences" (témoignage recueilli fin 1997 de Jigmé Namgyèl cadre administratif chinois originaire du Kham en poste à Lhassa depuis 1951, actuellement à la retraite)