Yohan,
Oui, les belles personnes, ca manque. En général, on ne les sort de l’ombre que pour monter dans "le grand terrain de nulle part avec de belles poignées d’argent "(Bashung), et encore, pas tous.
N’empéche, quel triste destin pour un photographe que de finir aveugle. Mais bon, s’il est "pleins phares" grace à sa femme, tant mieux. Qu’il prenne la Nationale 7, celle des souvenirs.
PS : j’avais pas vu que c’était un interview exclusive de toi. C’est une bonne idée, les interview de "sans grade", des "pas vus, pas reconnus". Exemple à suivre.