Eh eh mais le vice est inscrit dès le départ, dans la formule de la démocratie représentative... si moins de gens avaient résisté au bourrage de crâne médiatique et disons, trois personnes sur quatre avaient voté Sarkozy (nom interchangeable avec le candidat que les médias préfèrent, je précise) à la présidentielle, c’est toute une très large clientèle qu’il aurait fallu contenter, et c’est pas en dépouillant l’Etat et en accordant des allègements de charge astronomiques aux entreprises que les gouvernants y seraient arrivés. Quand l’homme politique divise pour régner, il ne fait qu’utiliser une potentialité du système. Faut pas s’étonner, hein !