Même si je reste sceptique sur la position de l’auteur sur Mugabe, on ne peut toutefois pas affirmer qu’il en est un admirateur.
Replacer dans un contexte national et en gardant en tête que le camp d’en face n’est pas tout blanc ne peut pas faire de mal.
Je reste toutefois convaincu que Mugabe est un grand malade paranoïaque et qu’il entraîne son pays dans une spirale inflationniste en se mettant la communauté internationnale à dos.
On reconnaît encore là le cerveau binaire du Morice : méchants/gentils.