Le problème est que le pouvoir politique au plus haut niveau est un mix de pragmatisme électoral et de duplicité. Les échéances passées, les actions engagées sur la base des engagements électoraux se dégonflent très vite pour n’être plus que des ersatz ou des coquilles vides. Et c’est ainsi que nos amis écologistes ou engagés socialement deviennent ce qu’ils ont toujours été dans l’esprit de leurs commanditaires : des faire-valoir et des cautions impuissantes d’une politique très éloignée (et sur certains sujets aux antipodes) de leurs objectifs. Dans les vaudevilles, on les nomme les "dindons de la farce" !