« Les blogs ne sont qu’un nouveau médium où on peut observer les anciennes habitudes ».
Je suis bien d’accord. Je rajouterais tout de même, que la différence de marque, ici, est l’auto-publication. La technologie a baissé le coût à l’entrée.
Il n’y a virtuellement plus de filtre pour publier et atteindre un auditoire potentiellement mondial.
Avant, l’universitaire devait nécesairement passer par un réseau, aussi petit soit-il, pour être publié.
Serait-ce cette absence de filtre « à l’ancienne » qui gène ?