Comme si la ruine de l’économie et les pertes énormes empêchent de se battre jusqu’au dernier !
Deux ou trois séances dans un dojo traditionnel japonais vous apprendraient que dans l’éthos du samouraï on se bat jusqu’à la mort, pour obéir à son seigneur, même s’il n’y a aucune chance de survie et encore moins de victoire.