Ce que je crains :
Un "effet de choc" propice à la démobilisation, au repli sur soi par peur de la perte de ses petits avantages qui seront vite balayés, à la rage impuissante faute de politique de rechange, favorisant une fuite en avant encore plus rapide vers un système à l’anglo-saxonne....ou alors une explosion violente, comme le redoutait Léon , dans un de ses articles...
C’est ,je crois, le but et la méthode (sciemment réfléchis dans les think tanks élyséens), qui a porté ses fruits sous Reagan (la casse syndicale), sous Maggie ...
Même logique riemanienne bien pensée par l’école de Chicago , la Rome de l’ultralibéralisme.
Il faut lier ou relire Naomi Klein