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Philou017 Philou017 26 juillet 2008 16:32

Les médicaments sont aussi une belle tromperie. Ce sont des palliatifs, qui ne guérissent en aucun cas le probleme sur le fond. Même en das de rémission des symptomes, le patient doit continuer à ingurgiter des pilules chimiques. Et les effets secondaires sont pénibles et assez souvent destructeurs. Se souvenir du cas de la soeur de Sandrine Bonnaire : www.agoravox.fr/article.php3

Voici un copier coller d’un forum qui correspond a peu pres à ce que je pense :

Faut-il jeter les antidépresseurs ?

Les médicaments du bonheur sont-ils vraiment miraculeux ? Près de vingt ans après leur lancement en France, les antidépresseurs de la dernière génération font à nouveau parler d’eux. Effets secondaires, dépendance... : le point sur les risques et les bénéfices.

Ca y est ! On a enfin trouvé la pilule du bonheur ! C’est ainsi que les médias parlent du Prozac lorsqu’il est lancé par le laboratoire américain Lilly au milieu des années 1980.
Une vingtaine d’années plus tard, l’usage des antidépresseurs sérotoninergiques, ainsi nommés parce qu’ils augmentent la concentration dans le cerveau de la sérotonine – une substance responsable de nos humeurs –, est presque devenu banal. Le Prozac et ses cousins (Deroxat, Zoloft, etc.) ont leur place dans l’armoire à pharmacie de près de cinq millions de Français (source : Caisse nationale d’assurance maladie - Cnam - 2004, selon une étude menée de 1999 à 2003) et sont à ce jour les médicaments les plus vendus après les antidouleurs tels que l’aspirine et le paracétamol.


Mais aujourd’hui, réveil brutal : ces molécules tenues hier pour miraculeuses deviennent l’objet de tous les soupçons. Aux Etats-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne (où les autorités sanitaires ont formulé début décembre de nouvelles recommandations aux médecins, visant à éviter l’usage abusif des antidépresseurs et les prescriptions trop systématiques), leur utilisation est remise en cause pour les enfants et les adolescents, après que plusieurs études ont prouvé qu’elles entraînent chez eux une augmentation du risque suicidaire. Mêmes inquiétudes en France. Le ministre de la Santé, Philippe Douste-Blazy, s’est déclaré, le 12 décembre dernier, opposé à la prescription d’antidépresseurs chez les moins de 18 ans

Et dans un livre récent, Antidépresseurs, la grande intoxication, Guy Hugnet, journaliste et ancien cadre de l’industrie pharmaceutique, exhume des documents établissant qu’ils provoquent des effets secondaires tendant à créer une dépendance chez certains utilisateurs – contrairement à ce qui avait été indiqué lors de leur commercialisation. Surtout, le plus célèbre d’entre eux – le Prozac – s’est révélé incroyablement peu performant, et ce dès les tests préalables à sa commercialisation.

Faut-il pour autant jeter ces antidépresseurs au feu ? Sont-ils inefficaces et dangereux ? Les psychiatres et les généralistes que nous avons interrogés estiment qu’ils sont performants dans environ 60 % des prescriptions : un résultat honorable. « Si le médicament donne des résultats, nous concluons qu’il s’agissait d’un problème lié à la sérotonine, admet Bertrand T., médecin généraliste. Tout simplement. En réalité, nous n’avons aucune preuve scientifique. »

Pourtant, côté patients, l’explication des symptômes par un déficit de sérotonine a d’emblée un effet pacifiant. « Savoir que mon incapacité à agir, que mes insomnies venaient de cette substance chimique m’a rassurée », confie Edwige, 38 ans, qui a utilisé un antidépresseur pendant six mois. Des mots mis sur une souffrance qui nous échappe provoquent un apaisement immédiat : le mal est étiqueté.Lorsque les antidépresseurs sérotoninergiques ont été mis sur le marché, les laboratoires concepteurs n’ont-ils pas vanté un peu trop bruyamment leur absence d’effets secondaires ?
Comment imaginer que des substances psychotropes agissant sur le cerveau puissent être sans répercussion sur le psychisme et sur le corps ? Bien sûr, ils en ont ! Mais moins systématiquement que leurs ancêtres de la classe des imao et des tricycliques, qui entraînaient souvent des maladies graves, parfois mortelles (hypertension, problèmes cardiaques), et exigeaient donc des précautions d’utilisation et un régime alimentaire (sans fromage, ni charcuterie, ni sel...) particulièrement contraignants.


Des prescriptions inadaptées

« Au début, comme beaucoup de mes confrères, j’ai prescrit des antidépresseurs sérotoninergiques sans méfiance excessive, se souvient Christophe André (auteur notamment de "Petits Complexes et Grosses Déprimes" Seuil, 2004 - dernier ouvrage paru : "Psychologie de la peur" Odile Jacob, 2004), psychiatre et psychothérapeute à l’hôpital Sainte-Anne, à Paris. Mais le réel m’a rapidement rappelé à l’ordre : des patients se plaignaient de phénomènes gênants – céphalées, diarrhées, nausées, tremblements, comportements inhabituels... Désormais, nous savons que ces produits ont aussi souvent des répercussions sur la libido et le désir sexuel. Les psychiatres se tiennent informés et préviennent leurs patients des risques éventuels (note perso:le faite que les medecin previenne n’est pas forcement vrai) : nous avons des congrès, des contacts avec des collègues étrangers. »

Reste que dans bien des cas, les effets secondaires du traitement découlent d’une prescription inadaptée. Nombre de généralistes sont insuffisamment formés pour distinguer une profonde tristesse d’une vraie dépression. Sans compter ceux qui prescrivent ces médicaments pour se "débarrasser" de patients en plein désarroi, parce qu’ils sont trop surchargés pour les écouter. Ces patients auraient pourtant davantage besoin d’être entendus que médicalisés... à condition d’avoir accès à une offre psychothérapeutique satisfaisante. Or, « du fait de la faiblesse de celle-ci dans notre pays, le recours aux antidépresseurs tend à se systématiser  », déplore Gérard Louvain, psychothérapeute.

Mais comment expliquer les cas d’individus qui auraient tué – ou se seraient suicidés – sous l’emprise du Prozac ? « Ils restent des exceptions, répond Christophe André. Toutefois, le risque de passage à l’acte violent est réel. Bien que les antidépresseurs soient des régulateurs des émotions, ils peuvent, dans un premier temps, les dérégler davantage. C’est pourquoi je m’abstiens d’en prescrire aux patients trop impulsifs. Il me semble tout aussi dangereux de les donner aux enfants et aux adolescents, dont le système nerveux est encore en construction. Sauf dans le cadre d’une consultation hospitalière spécialisée ou sous surveillance. »

Dans son essai alarmiste, Guy Hugnet rappelle un autre inconvénient de taille : la consommation d’antidépresseurs provoquerait des dégâts dans nos cellules cérébrales. « C’est vrai, admet Pierre K., médecin généraliste. Mais la dépression également, qui induit une atrophie d’une partie du cerveau, l’hippocampe. »

Voila j’ai mis une parti d’un artcile le reste etant assez repeté,ou celon moi faussé.Si vous voulza voir tout l’article je l’ai trouvé ici => http://femmes.fr.msn.com/bien-etre [...] id=3772564

Alors personne de toute age reveillez vous : Il n’est pas necessaire d’etre persuadé que ses pillule regleront la majorité des soucie,je parle specialement de ceux qui oblige leur ado a prendre ses cachet en croyant que tout vas allez pour le mieux,la realité est que ces cache misere vause beaucoup plus d’effets nefaste au cerveau que la depression elle meme !!!

forum.doctissimo.fr/psychologie/depression-deprime-stress/anti-depresseur-psychatrie-sujet_174928_1.htm

@L’auteur : Quand on se targue de rechercher une information indépendante, il est utile de ne pas se limiter aux réponses de la médecine officielle. La médecine actuelle, et spécialement la psychiatrie, est sous l’emprise des industries pharmaceutiques et de leurs intérêts. Même des médecins serieux et dévoués ne font qu’annoner ce qu’on leur a appris à la faculté et que distillent des revues "scientifiques" subventionnées par ces mêmes indiustries. C’est pas cela que j’appelle de l’objectivité.
Evidemment, cela permet de se rassurer à bon compte.
Mais des psychiatres et des psychotérapeutes critiquent ces traitements aussi. Sauf qu’eux, ils ne sont pas chargés de répondre aux médias, et qu’ils ont même souvent des ennuis avec l’ordre des mdecins, gardien de l’orthodoxie.


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