Bonjour,
Oui vous avez raison j’utilise moi aussi le pathos, l’émotion que peut susciter la défaite future de NS. (douce mélodie n’est ce pas ?)
Je l’utilise pour essayer de démontrer que la haine du personnage aide sa politique en discréditant toute portée au message de l’emetteur.
Les pro-sarko l’avaient compris instinctivement dès le début : "Si le personnage ne te plait pas, passe outre et vois les réformes et le retour de la France dans le cercle des USA"
La partition entre message / effets futurs de la politique étaient déjà présentes.
Les adversaires étant tombés dans le panneau : TSS, alors qu’il aurait fallu dire tout sauf le néo-conservatisme à la française. Là ils se seraient placés sur le terrain des idées et non sur celui du personnage.
Le pathos est un des trois éléments de tout discours : pathos, logos et ethos.
Barthes montre que le pathos touche le récepteur, pour se prémunir de ses effets, il faut avoir conscience qu’il existe.
Pauvres sophistes, premiers penseurs et démocrates, Platon l’aristocrate a bien reussi sont coup en disculpant Socrate de sophisme et en forgeant cet image du "sophiste", qui n’a pas grand chose à voir avec le sophiste historique.
Bien à vous