Comparez les sonorités : Mc Cain et Obama.
La première a besoin de toute la prononciation de l’anglais américain avec cette syllabe « ain » qu’il est difficile de noter dans notre langue mais que les présentateurs prononcent, je crois, assez bien. La deuxième non, avec des syllabes standard.
Tout cela rentre subrepticement dans le cerveau à chaque fois et c’est là que l’élection se joue.
C’est comme si en France, avec mes excuses, un candidat s’appelait Mohamed.
La partie est terminée depuis le début, c’est tellement simple à comprendre.
À tel point qu’on n’entend pas Mc Cain, ou très peu, c’est à se demander s’il a besoin de faire campagne.
Si je me trompe, refoutez-moi ce message à la g… ici même le moment venu.
Bien à vous.