Merci pour l’article. En 68, je découvre effaré Léonard Cohen et en France, via le festival de Malataverne près de Montélimar, dans la carrière de pierre, François Béranger.(C’etait dans les années 70)
Combien de fois le premier Lp sur mon tourne-disque. Et toujours en mémoire ce petit bijou "Brésils". Et cette voix au timbre chaleureux, légèrement granuleux. Et encore son énergie du Désespoir. Et son sourire franc, toujours mélancolique.
Walpole (http://www.pensezbibi.com)