Sur l’affaire en particulier, le journal Le Monde relate les témoignages des travailleurs sociaux. Il semble que cette femme se soit murée dans ce silence et n’ait répondu à aucune demande de rendez-vous pour l’aider. Sans porter de jugement hâtif, je me demande pourquoi le père (cosignataire du bail) n’a pas pris le relai de la mère si celle-ci était dépressive.
Toujours est-il que de façon générale, la pressurisation des pauvres n’a jamais été aussi forte que sous ce gouvernement et l’indécence c’est d’entendre le MEDEF se plaindre, gémir en permanence et réclamer toujours plus pour les riches.