Il est plus que temps que des responsables politiques reconnaissent les erreurs faites, et envisagent les moyens d’y remédier, en redonnant aux états le pouvoir sur la création de monnaie, en lieu de l’avoir laissé aux créanciers et usuriers privés, qui étranglent les économies nationales.
Que Michel Rocard l’évoque est une excellente chose, même s’il n’a pratiquement plus aucune influence, si ce n’est "morale".
Ce système a prouvé non seulement ses épouvantables effets de nuisance, mais également sa non-viabilité.
Il est d’une urgence absolue de le changer.