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John_1989 27 septembre 2013 04:42

En France, le phénomène est certainement plus développé que dans n’importe quel pays européen ou même occidental... Dès lors qu’on est patriote en étant Français, on prend des gants, c’est un réflexe intellectuel. Car le point Goldwin arrive très vite, défendre son pays est devenu quasiment dangereux, et on ne voit cela dans aucun autre pays jusqu’à preuve du contraire...


Mais ce n’est pas du tout un hasard, car dans notre pays, on adopte des réflexes intellectuels qui consistent à se moquer de son propre pays, voire à le dénigrer, et en tous les cas, à admirer tous les autres pays inconditionnellement. Alain Soral parlait très juste lorsqu’il disait que la culture française s’était justement affaiblie.

Les précédents gouvernements depuis 30 ans étaient déjà dans le déni de la France, mais le gouvernement actuel, étant socialiste, est plus déconnecté des réalités et de la nation que jamais. Jusqu’à se rendre complice de la francophobie des élites et de l’invasion idéologique étrangère (FEMEN par exemple). Les exemples ne manquent pas à l’appel.

D’ailleurs, on n’a jamais autant entendu le terme « populisme » qu’aujourd’hui, tout simplement parce que ce terme n’est que la politisation du mépris du peuple, une sorte de « novlangue ». On est censés être en démocratie, mais parler du peuple, c’est se rabaisser, c’est commettre un déni de la République. Invraisemblable ? C’est pourtant la réalité, la conception démocratique de nos dirigeants se résume apparemment aux 2% de sa population, privilégiés, qui vivent pour la plupart sur le dos de la majorité puisque de l’argent public. La négation et la honte de son pays sont devenus la norme.

Et forcément, les élites politiques et financières se sont mises en tête que le peuple était condamné à faire du racisme, de la xénophobie, et du « nationalisme », un terme devenu insultant. Logique, puisqu’elles sont apatrides et corrompues, bénéficient de l’alibi du « racisme » (hier, c’était prôner la suprématie d’une race, aujourd’hui c’est aimer son pays) qu’ils exploitent à leurs fins, et s’estiment au-dessus des autres. Un sentiment conféré par le pouvoir et l’aisance financière.

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