Par ailleurs, ce n’est qu’une frange minoritaire de la machine datacenterisée de Google qui flottera sur les eaux, la majeure partie demeurant à terre.
Quant au risque terroriste, je suis de ceux qui pensent qu’il ne faut pas le surestimer (sans pour autant le négliger), et qu’il ne doit point freiner psychologiquement l’investissement et l’innovation.
Les risques naturels (tempêtes, cyclones, tsunamis) me semblent bien plus importants pour ces navires, comme c déjà le cas pour les pétroliers, les méthaniers et autres bâtiments de surface qui ne sont que très rarement la cible d’attaques terroristes...