Sans compter que toutes ces injections massives d’argent public vont encore nous ramener de sacrees bouffees d’inflation, avec toutes leurs repercussions calamiteuses sur l’economie reelle.
Car, pour sauver le systeme, il faut imperativement faire payer ceux qui n’ont deja que le minimum pour survivre.
Mais, les rats, qui en ont pleinement profite, sont deja bien a l’abri et n’attendent que de nouvelles opportunites pour speculer sur les futures penuries, quittes a les fabriquer.