Bonjour Pierre,
Votre constat est sans doute fondé, votre pessimisme également.
Aussi, je propose une lueur d’espoir :
un gouvernement bis en exil à Tadoussac ou dans la Baie de Saguenay, qui méditerait sur la beauté des choses, et le vanitas, vanitatis et omnia vanitas de tout cela...
(PS : votre beau pays m’a conquis cet été...)