Expérience personnelle : j’ai
souffert d’inflammation de mes tendons d’Achille, avec rupture
partielle de l’un des deux. J’ai consulté deux grands
professeurs d’orthopédie parisiens qui m’ont conseillé
les soins pour me soulager, mais ne se sont jamais intéressés
un instant à la cause.
J’ai fini par trouver par moi-même que c’était
un effet secondaire parfaitement décrit d’un traitement par
Ciprofloxacine pour une dysenterie.
Le but de cette anecdote : montrer que
certains médecins ont un « esprit scientifique » et
sont à la recherche de la vérité, mais qu’une
majorité, et surtout ceux qui ont obtenu des postes élevés,
recherchent en priorité à ne pas troubler l’ordre
établi, et, par exemple, surtout ne pas mettre en difficulté les
fabricants de médicaments...
Parmi les neurologues qui
diagnostiquent un nouveau cas de « Sclérose en Plaques »
(SeP), combien vont poser la question : avez vous été
récemment vacciné contre l’Hépatite B ? (Il
semble qu’ils pourraient aussi demander aux femmes si elles n’ont pas
été vaccinées contre le cancer du col...)
Si on ne demande pas, on ne trouve
pas...et les statistiques officielles n’en seront que plus favorables...
La sclérose en plaque est une
maladie qui bénéficie de remboursement des soins à
100% et à ce titre la Sécurité Sociale connaît
le nombre exact de patients traités : la grande majorité
d’entre eux font les démarches nécessaires pour
bénéficier de cet avantage, mais de nouveau, le
formulaire de demande ne doit pas les interroger sur l’éventualité
d’une vaccination récente...
Mais, en tout cas, j’ai vu des statistiques officielles de la Sécu qui
indiquent une brusque augmentation du nombre de cas de SeP depuis
l’année où la vaccination Hépatite B a été
introduite en France !
Lorsqu’ils se sont rendus compte du
problème, les « décideurs » ont cru trouver une
solution en se disant : on va vacciner en masse les jeunes enfants, qui
seraient (peut-être) moins sensibles à la Sep et pour
cela on va faire peur aux parents en leur faisant croire que cela
peut se transmettre par la salive...
Les morsures sont très banales à
la crèche, mais à ma connaissance, le seul cas connu dans
la littérature mondiale, est celui de deux adolescents
américains qui avaient partagé un chewing-gum...
En fait, la vraie question est : quand
cette génération d’enfants vaccinés arrivera à
l’adolescence, et sera vraiment à risque de contamination par
voie sexuelle, le vaccin sera toujours valable ?
C’était cela le véritable
argument : vaccinons les tous, à l’âge où c’est
moins dangereux et voyons combien de temps ce vaccin protège :
la seule façon de répondre vraiment à cette
question étant d’essayer à grande échelle.
C’est
le même pari qui a été fait pour le vaccin de la
Rougeole, et il semble malheureusement que sa durée de
protection soit de vingt ans au grand maximum (et ce vaccin serait
aussi beaucoup plus dangereux en rappel à l’aĝe adulte ?)
Pour la durée du vaccin hépatite B, nous arrivons au
« moment de vérité », mais personnellement, je
ne suis pas dans le « Secret des Dieux » !