Des échanges distrayants après une plongée dans la poésie financière...
Pour ma part, j’ai choisi le simplisme pamphlétaire, ça maintient en forme. Bien que capitaliste, foncièrement, il y a certains suiffeux financiers qui mériteraient d’exercer leur tignasse lissée au fond des chiottes, juste pour vérifier le type de trace diarrhéique laissée.
Je songe à la campagne de pub de la Société générale, et à l’idée immédiate, et mal placée, qui m’est venue : "Coup de pouce... dans l’cul !"