En parlant du commentaire que j’approuve, il s’agit bien du premier, écrit sur un ton mesuré, qui rappelait la légitimité des parlementaires à voter selon leur conscience et en tant que représentants du peuple.
En revanche, je ne m’inscris pas dans la ligne un peu outrancière du dernier commentaire, qui semble être directement liée à l’indignation légitime que peut susciter cette sorte de grand jeu des banques, où, lorsqu’elles gagnent, elles gagnent, et lorsqu’elles perdent, ce sont les autres qui payent.