Monsieur Jean-Michel-Beau, je vous connais au travers des articles de Paul Villach qui a suivi votre affaire et en a relaté les remous. Je ne peux que vous féliciter d’avoir été aussi persévérant pour défendre ce que nous avons de plus précieux : la Dignité de la Personne.
Je suis par contre moins confiant que vous en ce qui concerne le remboursement des frais de justice par ces hiérarques dévoyés : l’affaire des paillotes corses l’a démontré amplement. Le préfet Bonnet, pourtant condamné à chaque instance, a vu ses frais de justice intégralement payés par nos impôts (ils se chiffrent à plusieurs centaines de milliers d’euros) et les gendarmes ont dû assurer leur défense en ne comptant que sur leurs deniers personnels.
SELON QUE VOUS SEREZ HIÉRARQUE OU ÉXÉCUTANT...
La Fontaine écrivait sa fable alors que nous avions un roi.