La "droite nationale", ne l’oublions, c’est le nom que donnent tous les nostalgiques de Vichy, d’Aldolf, du gros Mussolini et tous les frustrés complexés et pas très finauds du ciboulot à l’extrême-droite.
L’extrême-droite, c’est bien beau dans l’opposition, ça braille, ça éructe, ça vomit, ça beugle, mais quand ça entre au gouvernement, bonjour la catastrophe. L’espagne était le pays le plus arriéré d’Europe à la mort de Franco. Quant aux nouveaux roquets d’extrême-droite, quand ils arrivent au pouvoir, c’est la loooooosée assurée... Y a qu’à voir dans quel état économique et social déplorable était l’Argentine aussi à la fin de la dictature d’extrême-droite...
Aimer son pays, c’est détester l’extrême-droite.. Y a qu’à voir comment les dictateurs d’extrême-droite sud-américains avaient placé leur pays dans un état de totale soumission envers leur maître yankee. Non à l’impérialisme, non à la soumission, non à l’extrême-droite