Il serait judicieux, quand la prochaine grande peur tombera sur les épaules des électeurs, de se demander si la sécurité et la santé des journalistes ne seraient mises en cause.
A force d’affoler la populace et de la traiter d’imbecile, le jour viendra où le métier deviendra à très haut risque.
Mr Figaro devrait voir au pied de son donneur d’ordre s’il a prévu un couvre feu ou un état d’urgence pour la protection de la gente scribouillarde.