C’est très intéressant cette histoire du bonhomme qui s’appropie un espace public, déserté parce que public, et qui décide d’en faire son affaire. Comme quoi les choses, vivantes ou non, sont mieux gérés quand elles ont un propriétaire. Et étonnant cette capacité, vraiment idéologique, de passer à côté de la vérité sans même être capable de la reconnaître.