Effectivement, le biais du point de vue de l’auteur tient dans le postulat qui prétend qu’il y a une cohérence idéologique dans la molitique brutale du gouvernement (oupss du Chef), qu’il illustre avec des parrallèles bushiques.
Pour moi Sarko est versatile, il navigue à vue, joue sur les divisions qu’il entretient et suscite, manipule la réalité. Son seul objectif clair : Etre un grand parmi les grands, le pouvoir, l’argent (il le dit lui même...)
Un des cerveaux de Bush avait déclaré un truc du style :
Au lieu de réagir à la réalité comme le font les politiques habituellement, nous créons notre propre réalité sur laquelle nous agissons ensuite. Ex : l’afghanistan, l’Iraq, la guerre contre le terrorisme, l’axe du mal, la bulle financière basée sur du vent....
Je crois que ça résume bien la rupture sarkozienne et là s’arrête le parrallèle idéologique avec Bush
Il est dangereux, je suis d’accord, mais le problème qu’il pose est ailleurs