"On peut alors se questionner sur l’utilité de mener des recherches coûteuses et longues sur la modification génétique de légumes courants pour les enrichir en tel ou tel nutriment"
Hé bien...., en fait.., maintenant qu’ils ont trouvé le gène de l’antioxydant, ils n’ont plus qu’à découvrir ceux du goût , de l’odeur et de la texture des tomates d’autrefois afin de les injecter dans les immondes saloperies insipides qui se conservent 3 semaines hors réfrigérateur ........ 