Je n’ai pas un a priori défavorable à l’université, c’est pire en fait, ce que je pense de cette institution
Ce billet met l’accent sur un fait indiscutable, deux E-S ont refusé la titularisation de Mme Lorne. Apparemment sans raison. C’est donc un sale coup comme on dit.
Imaginons un prof de lycée recevant un blâme alors qu’il n’a pas commis de faute et qu’il se suicide. Toute la presse en parle. Mais là, c’est l’omerta, la fac, c’est la grande muette comme le dit Y Michaud sur son second billet à ma suite. Michaud qui lui aussi s’étonne du black out de la presse. Alors, si un journaliste est de passage, je le regarde droit dans sa conscience et lui suggère de faire son boulot. Non sans avoir enquêté avec les moyens dont il dispose. Moi, je suis bénévole, je n’ai pas les moyens de passer deux jours à Brest. Mais France 2 oui et pourquoi pas un correspondant de Ouest-France.
Pour revenir à l’université, je crois qu’il y a des lieux où ça se passe correctement mais des facs où on trouve des comportements à la Papon ou la Eichman, des petits chefs fachouillards, comme le pense Michaud.