@ Laurent,
Merci de m’avoir répondu. J’ai fait court dans ma réponse parce que j’étais en train de travailler ; et puis j’ai relu 24 heures dans la vie d’une femme il y a juste deux semaines, mais Stefan Zweig était et est toujours un de mes écrivains préférés ; j’habite l’Angleterre et lorsque j’ai épousé mon mari en 1984, j’ai voulu faire connaîre Stephan Zweig à ma belle famille ; ma belle-mère est une poétesse qui a publié plusieurs oeuvres. Mais celles de Stephan Zweig n’avaient pas (à l’époque) été traduites en anglais.
Le monde d’hier est peut-être un des livres les plus poignants ; une époque révolue, d’une brillance incroyable dans la Vienne d’alors, la rencontre de la musique avec le cavalier à la rose, de la psychanalise avec Freud, de la littérature avec Zweig et merci d’avoir évoqué le pacifisme qui a rapproché Zweig de Rolland.
Et puis le courage de tirer sa révérence lorsque la folie du monde devient insupportable.