J’ai lu plusieurs articles, dont un témoignage et une analyse subtile des forces obscures à l’œuvre. J’ai imaginé une scène au ralenti couverte de brume, les bruits, les cris, et le silence abasourdi. Et comme à l’accoutumée, les redresseurs de tort se sont drapés dans leurs théories inhumaines, assassines, justifiant le pire au nom du meilleur. Philippe Muray a tellement dénoncé l’Empire du Bien.