L’homme modifie son environnement et n’est donc pas sujet à celui-ci puisqu’il peut le modifier à sa convenance.
Il n’y a pas vraiment de pression évolutive à se niveau, puisque maintenant, c’est l’environnement qui s’adapte (est adapté) à l’homme et non l’inverse.
Cependant, les études sur la perte de fertilité des mâles tendent à donner une autres lectures, car l’adaption de l’environnement n’est pas totale.
En revanche une espèce peut toujours évoluer par choix sexuel : si les femmes ne désirent plus que tels caractéristiques et que des malheureux ne se reproduisent plus à cause de cela, il y aura toujours une évolution
De toutes façons, nous sommes toujours les mêmes qu’il y a 100 000 ans, donc prévoir une évolution sur la base des 200 dernières années est un exercice, disons, difficile.
(« finaliste » est une insulte en biologie, je vous laisse deviner pourquoi)