Nous connaissons maintenant le résultat. L’abrogation de l’article 4 a été refusé : il y a donc maintenant une histoire officielle (http://www.assemblee-nationale.fr/12/dossiers/rapatries.asp).
Voici une pratique digne des dictatures : décider ce que les livres d’histoire doivent enseigner...
Nos représentants légaux sont irresponsables, non pas dans le sens où ils ne savent pas ce qu’ils votent mais plutôt dans le sens où ils ne comprennent pas ce qu’ils votent.
Laissons l’histoire aux historiens, la science aux scientifiques et la loi au législateur.
Reconnaître le « rôle positif de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord » c’est comme décréter par une loi que le sida ne doit plus exister.