Bien d’accord avec tonton, le probleme de maltraitance psychologique est encore bien plus grave et plus difficile à analyser/detecter que des bleus sur le corps.
La violence psy est encore plus tabou, car présente dans toutes les structures de la société et difficilement imputable à un bouc émissaire (classiquement les hommes au sein des couples, les immigrés pour la délinquance...).
Bref, l’article y aurait gagné à présenter la violence physique faite aux enfants comme un pendant d’une violence plus globale qui peut leur être faite.