Le rappel de la définition du viol, des circonstances atténuantes et des condamnations ne change pas le fait que c’est la prétendue victime qui connaît parfaitement l’histoire vécue. Lorsque cette personne déclare clairement et fermement : "Il n’y a pas eu d’agressions sexuelles, c’est moi qui ai menti, je le regrette et je demande la révision du procés", elle ne le fait pas sous la contrainte mais librement poussée par sa conscience. Il n’y a donc plus lieu de se poser la question sur les différentes formes d’agressions qu’elle aurait pu subir.... La justice, c’est alors de dire : Il y a eu erreur, cette erreur n’est pas le fait de la justice donc reprenons tout à zero et révisons le procès. Personne n’est infaillible et je suis sûr que si on demandait l’avis des jurés qui ont condamné, ils accepteraient cette décision de bon sens qui ne remet pas en cause leur bonne foi.