@auteur
Vos lapsus et votre obstination vous montrent tel que cette justice qui camperait droit dans ses bottes et que vous critiquez.
Vous écrivez :
Le rappel de la définition du viol, des circonstances atténuantes et des condamnations ne change pas le fait que c’est la prétendue victime qui connaît parfaitement l’histoire vécue. Lorsque cette personne déclare clairement et fermement : "Il n’y a pas eu d’agressions sexuelles, c’est moi qui ai menti, je le regrette et je demande la révision du procés", elle ne le fait pas sous la contrainte mais librement poussée par sa conscience.
1-circonstance "atténuantes" du viol ????
Non, dans le texte de loi que j’ai cité il n’y a mention que de circonstances aggravantes !
Vôtre lapsus laisserait-il supposer que pour vous le viol est une pécadille ???
2-"c’est la prétendue victime qui connaît parfaitement l’histoire vécue"
Alors de quel droit la qualifiez-vous de "prétendue" ? Vous y étiez ???
3-"Elle ne le fait pas sous la contrainte mais librement poussée par sa conscience"
Vous habitez avec elle depuis le procès ? Vous la connaissez ? Vous lisez dans sa conscience ?
A travers vos commentaires en réponse aux commentaires de vos lecteurs vous vous montrez extrêmement subjectif et peu rigoureux, ce qui, à mes yeux, annihile complètement votre argumentation en faveur du condamné et de l’accusé que vous prétendez défendre.