Dommage, Marsu, j’aurais bien aimé te lire
le secret du miroir, en fait, c’est plus fascinant que tu ne le penses, ça a même des résonances en théologie. La quatrième de couv. mal rédigée par je ne sais qui, évoque l’incarnation des miroirs. Et c’est le sens qui a échappé à Girard, le jeu de réflexion entre le Père, le Fils et l’Esprit, deux images distinces mais se réfléchisant dans un même miroir, ou si on veut, le mimétisme transcendé et conjuré