Et cet autre qui m’expliquait sans broncher, comme une sorte d’automatisme de sa part tellement il semblait absorbé par d’autres pensées, probablement par un patient, un cas bien plus passionnant que moi, que préférer passer mes soirées en vol à regarder les coucher de soleil plutôt que me saouler en boite de nuit c’était pour lui un problème purement freudien, une névrose du genre trouble de la personnalité gravissime qu’il reliait à du sexuel. Alors que de ce côté là tout va bien.
Délirant non ?
Le malade est il vraiment du côté de celui qui est assis dans le fauteil du patient ?
J’ai testé tous les psy de ma commune.
Et tout le monde de me dire à chaque fois : "hou là celui là mais il est plus malade que ses patients !"