Non je pense que c’est le contraire, face aux drogues et à la mort, nous sommes tous semblables, riches comme pauvres. Effectivement un riche ne trouvera aucune structure pour l’aider à arrêter la prise de produit, il ira jusqu’a bout du voyage, jusqu’à St-Anne ou comme je le conte dans mon article, en crevant d’une "crise cardiaque" à la quarantaine. La drogue est au-delà du facteur psycho-social, le boomerang en retour est inéluctable. Riche comme pauvre tu prendras Cher ! . . .