@ Annie, vous dites : ""la question est maintenant de savoir comment promouvoir le développement des pays pauvres ou en voie de développement sans aggraver la crise écologique.""
Je ne suis pas sûr que les influents, ceux qui comptent, se posent vraiment cette question. Ce soir encore on apprenait par Thalassa que la multinationale brésilienne qui exploite le titane en Nouvelle Calédonie avait signé un accord avec les chefferies locales qui l’autorisait à rejeter des résidus composés de plomb à à peine 5 km des zones d’aquaculture. Les multinationales règnent en maîtres sur ces choses là, et elles n’ont pas de préoccupations écologiques.
Les politiques ont adapté la formule de Cocteau : " Puisque ces choses là nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs. "