L’article ne soutient pas que Pierre Perret est sans défauts. L’erreur grave des journalistes est de comparer Brassens et Perret et d’utiliser le premier pour diminuer le second. Et surtout de faire un procès public sans preuves, qui aimerait cela ? Si vous connaissez Brassens autant que vous le dites, vous savez qu’il n’aurait pas dit mot sur cette querelle, si querelle il y a eu. Et j’adopte ici sa philosophie, plutôt que celle de Pierre Perret. Mais j’aime beaucoup les deux artistes.