Il est vrai que Djian, relativement inovant (stylistiquement) avec 37.2° le matin et "Bleu comme l’enfer" , n’a plus fait depuis que se regarder écrire et se plagier, en moins bien.
Il aurait mérité d’étre "litérairement mort" à 35/40ans : il serait parti de nos mémoire en pleine gloire. Tandis que là, la fin est pénible, limite pathétique.