La destruction de richesse qui n’est pas destinée a produire d’autres richesses peut contribuer à la production au contraire, dans le sens où son acquisition s’est forcément faite par un moyen, l’argent.
L’entreprise qui reçoit ce qui a été nécessaire pour acquérir le bien allant être détruit, est motivé à moduler sa production. Ceci selon le niveau de la demande.
Jouer sur la demande est donc possible, mais comme vous l’indiquez dans votre dernier paragraphe, ce n’est pas possible dans un monde aussi interdépendant. Il faudrait refaire du protectionnisme... A moins que les futurs soucis avec le pétrole ne motivent à faire de la production localement (moins cher en transport).