@ Marsupilami : je n’ai pas été assez explicite : même les contradictions du capitalisme sont pour lui du bois dont il fait flèche : le capitalisme se nourrit de ses contradictions.
Désolé si cela paraît prétentieux, mais je dis que sur ce point Marx s’est trompé. S’il y a une chose dont je suis sûr c’est celle-là : le capitalisme ne peut pas s’autodétruire, j’ajoute mais ce n’est pas nécessaire, par définition ou si vous préférez, par construction.