Pour revenir sur ces 54% (très exagérés) , on pourrait s’interroger sur "le retour "....c’est -à -dire sur les 30% de PIB qui sont redistribués sous formes diverses (prestations d’assurance sociales et de solidarité). Il reste 15% qui correspondent au financement des depenses publiques (paiement des fonctionnaires, investissement , intérets de la dette) que l’on doit juger à l’aune de leur retombées économiques.
Les prélèvement obligatoires nous permettent d’acheter une production de services collectifs qui s’ajoutent à la richesse nationale plus qu’ils ne s’y substituent.