La crise a "le dos large" !... Le processus de réformes de NS est identique à celui qui a coulé les économies argentines et chiliennes dans les années 70 : socialiser les pertes, privatiser les bénéfices, rigidifier la répression pour empêcher toute vélléité d’action... laisser pourrir au besoin... (ça, c’est pour la version française, pour les sud-américains, ça a été bien plus dur !... merci, grand merci à Friedmann et Hayek !!! Grands "penseurs de l’impensable et de l’impensé" ! Dire que Friedmann a été couronné du prix Nobel d’économie ! Décidément, on ne donne qu’aux "riches" !)
Sans crise, c’était déjà programmé !... alors, avec cette crise qui tombe à point nommé pour "innocenter" notre petit serviteur du MEDEF § co. , ça va valoir son pesant de cacahuettes !
Si c’est, "un dîner de cons", ça se saura très vite ! Le risque, c’est que ce soit effectivement seulement cela !
Une question : combien seront-ils autour de la table ? S’ils sont treize, ça peut sentir mauvais pour le "meilleur" d’entre-eux !... Ce serait peut-être le "con" du dîner de "cons" !!! On peut s’amuser !!!