Je pense que M. Didier Vinolas a le malheur d’être droit et d’avoir une conscience.
Je pense qu’il est humain (après avoir quitté ses fonctions de commissaire de police dans les années 90, il a occupé un poste de sous-préfet à la ville, certes, ce n’est pas une garantie d’humanité à 100%, mais disons, un indice...), qu’il a été trés affecté par la mort violente de son préfet et tout ce qui a suivi (il y avait en effet de quoi se poser de nombreuses questions lancinantes).
C’est l’humble intuition d’un quidam qui a eu plusieurs occasions de lui parler.