Il ne s’agit pas de parano mais de fonds de commerce.
Comme avec ses détracteurs, Morice agite le spectre de la censure pour avaliser ses écrits.
"Si, quand je le dis, mon papier ne sort pas, c’est qu’il relatait des évènements vrais."
"Si, quand j’écris telle chose, j’ai des gens qui viennent me critiquer, c’est que ce que j’ai dit est vrai."
Par ailleurs, le fait même qu’il y ait critique démontre sans ambiguité que ceux qui la portent sont d’odieux facho-nazifiants, ce qui, aux yeux de Morice, rajoute encore à la crédibilité de ses écrits.
Propagande moricienne.