@Halen,
Excellente question…
Article fait de haute main ! Chapeau. Il paraît que les banques islamiques n’ont pas autant souffert que leurs consoeurs classiques. L’auteur peut-il nous éclairer un peu à ce sujet, bien que la part de ces banques est minime à travers le monde. S’il y a intérêt (pas intérêt bancaire...) pouquoi pas développer leur exemple, religion à part ?
J’ai contacté M.Allard, Dr Économie, Paris. Voici sa réponse :
Pour les banques islamiques, l’explication est simple. Elles pensent uniquement participation aux profits et jamais interet sur investicssement, ce qui est interdit pas le Coran. Elle ne sont donc jamais "dans le miroir". Evidemment un projet peut se casser la gueule, mais on n’a jamais une cascade de projets qui tombent en dominos, car ce n’est que la REALITE qui est en garantie, pas une chimere. Ajouter une mortale commerciale forte - entre vrais croyants - bien differente de la volonte de blouser tout le monde et son pere qui est le jeu prefere de la culture amricaine individualiste.
Cordialement
GP