Ce n’est pas complètement vrai.
J’ai calculé la "puissance de freinage" P. La règle de trois pour la période T est moins bonne puisque l’énergie cinétique rentre dans l’équation en puissance un demi :
T=( 2*Pi^2*J / W )^(1/2)
où :
W, énergie cinétique de rotation est grossièrement : W(t)=W0-P*t (là est l’approximation linéaire : puissance constante)
Il est plus ou moins obligatoire de passer par P pour comparer les activités humaines à la puissance qui serait soutirée aux océans : c’est une espèce de modèle visqueux...
De toute façon nos conclusions convergent : à court, moyen et long terme ca ne changera pas grand’chose. Mais comme la question est de comparer le problème dans plusieurs millions d’années (pour rester comparable à la gestion des déchets nucléaire), il faut admettre que l’influence est vaguement sensible.
Surtout si cette énergie permet (en semblant innofensive) de multiplier par cent ou mille la puissance énergétique utilisée par l’humanité. La puissance de freinage sera alors multipliée d’autant... et le problème le sera d’autant plus...